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Séance par séance... Paris XVIII

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Message  Invité Ven 18 Jan 2008 - 17:00

A partir de cette page, je vais tenter de remettre en perpective les évènements de la dernière partie, en l'occurence Moscou pour commencer.

Les joueurs qui veulent y réagir devront le faire par "mp" svp pour éviter de flooder cette page et de la rendre incompréhensible.

Voili voilou.

Nono


Dernière édition par Nono le Mer 13 Aoû 2008 - 17:25, édité 1 fois

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Séance par séance... Paris XVIII Empty 3 ans en quelques lignes

Message  Invité Lun 21 Jan 2008 - 22:16

Voici en quelques lignes historiques les derniers évènements depuis l’exil de François Villon :
• 1772 : fuite de monsieur de Marinelli suite à l’affaire de Chaillot ; au même moment, une querelle nommée la « querelle des cloches » oppose les baillages du quartier latin et celui de la Sorbonne (université). Le lieutenant général de police mettra fin à cette querelle en nommant un commissaire aux affaires extraordinaires : monsieur de Ranreuil. Suite à des échauffourées au quartier de la Sorbonne, monsieur de Malboeuf est nommée Ministre du Prince à la Cour vampirique de la Nouvelle Orléans. Monsieur Basquany disparaît.
• 1772 : naissance du duc de Bourgogne, fils du Dauphin. En même temps, on apprend la disparition du prévôt Beaumont, Malkavian notoire du quartier Saint-germain.
• 1772 : on apprend que plusieurs cadavres de boulangers sont retrouvés avec la gorge broyée. La psychose du pacte de famine s’installe de nouveau. Disparition de Jack O’Bannon peu avant une attaque des lupins du Set de l’aube grise. Ils installent un Caern là-bas. Une guerre politique se déclenche à ce moment là entre deux factions rivales Ravnos du quartier du Temple.
• 1772 : l’île Louviers est totalement raccordée par un canal au quartier Saint-antoine. Début des pavages des quais du faubourg saint Marcel. L’hôpital de la Salpetrière est brûlé avec son maître Euphrasie. L’enclosure du champ de Mars est terminée.
• 1773 : Edit de la régie établissant la volonté d’éviter des disettes dans les régions pauvres du royaume. Dissolution du Parlement de Bordeaux par le maréchal duc de Richelieu… Fin de la construction du palais de l’université où les pouvoirs administratifs sont remis à un nouveau doyen : monsieur le comte de Chatelaudren. Incendie du cabaret du Grand Hiver dans la rue de Ménilmontant et de la taverne du Livret Blanc, 4 rue Jacob.
• 1773 : émeutes de paysans aux alentours de la place saint Sulpice qui s’achèvera par quatre pendaisons. Les pouvoirs des commissaires de quartier sont accrus par leur pouvoir discrétionnaire en matière d’arrestation. Les commissaires de quartier supplantent les baillis par leur pouvoir de police au niveau humain et vampirique. Un nouveau maître des cadastres de la maréchaussée est nommé – monsieur de saint Augustin – et atténue fortement l’influence de la corporation des eaux et égoutiers de Paris. Monsieur Fribourg de Breilles est nommé comme ambassadeur à Moscou.
• 1773 : « Assemblée extraordinaire des seigneurs et notables de la nuit » sous la direction du Prince. Un nouveau concordat temporel est diligenté pour Paris et Versailles et des prérogatives du Principat dans les fiefs de France. Renforcement des pouvoirs légataires mais le Prince consent à rappeler les Parlements pour écouter les éléments de la base (sous la demande du jeune marquis de Verneuil).
• 1773 : « Nuit de l’étoile écarlate » qui voit le Clan Séthite réclamé les mêmes droits que le Clan Ravnos dans le quartier du faubourg Saint Marcel. Au bout d’un mois de tueries sanglantes dans le secteur, tout cela se termine par les arrestations des meneurs et leurs exécutions. En même temps, et pendant ce même laps de temps, le Clan Malkavian était anéanti par une faction inconnue. A la fin de cette fin d’année cauchemardesque, les membres du Triumvirat s’installent au palais des Tuileries.
• 1774 : Le roi tombe malade et mourra de la petite vérole le 10 mai de cette année. Louis xavier planche, marquis de Verneuil, devient le nouveau Duc du clan Ventrue quand les parlements sont rappelés par le Roi. La finesse politique de ce jeune ancilla surprend. Le conflit devient ouvert entre la pseudo favorite – madame de Polastron de la Motte - et la nouvelle Reine quand la favorite met au monde une jeune fille.
• 1774 : monsieur de Maurepas devient le nouveau principal ministre de Louis XVI et conseille la nomination de monsieur de Vergennes (ancien ambassadeur à Constantinople) comme ministre des affaires étrangères et monsieur Turgot comme Contrôleur général des finances. Ce début de règne commence avec une très mauvaise récolte qui annonce une soudure difficile avec la récolte de l’année suivante. Madame de Polastron s’installe à l’hôtel des Médicis (Luxembourg) et commence à installer sa petite cour pendant que la Reine s’installe au petit Trianon.
• 1774 : naissance du Duc de Normandie, cadet du Dauphin. La reine a été attaquée par des paysans lors de sa balade quotidienne pendant l’hiver de cette année. Le conflit entre les deux Reines de Versailles conduit à des dépenses somptueuses et extravagantes qui feront oublier le bon goût du règne précédent. On commence à murmurer sur la morale de la Reine s’enfermant au Trianon alors la Favorite reçoit tous les grands du Royaume et de Versailles avec goût et joie.

Cette description succincte permet de comprendre comment commence le règne du jeune Louis XVI et que ses premières décisions politiques et donc de Béatrix mettaient un terme à la politique de réforme de Louis XV…

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Message  Invité Lun 21 Jan 2008 - 22:17

Première séance : Moscou (novembre 1773)

Machiavel, le Prince : « Il y a toujours une bonne et une mauvaise solution. Le malheur veut que la bonne solution sur le plan moral soit souvent la mauvaise sur le plan politique et inversement. Il s’agit là d’une nécessité, à cause de la faiblesse et de la lâcheté du peuple. »

A la fin de cette année glaciale de novembre 1773, un convoi de trois lourds traîneaux de voyages sort d’un désert blanc et brumeux. On devine des moulins et la présence d’établissements religieux au-delà des zones abandonnées ou des halliers fantômes couvrant le sol de taillis inextricables peuplés de ronciers givrés. La faible lueur du falot dévoile alors de grands murs rouilles recouverts de glaces grises, qui, peu à peu, laissent la place à des masses indistinctes permettant de deviner les faubourgs de Moscou.

Deux ombres se détachent de ce convoi et se dirigent vers une sorte de masure flanquée à même la muraille de la ville. Quelques minutes plus tard, plusieurs ombres ressortent de la même masure et l’une d’entre elles bascule une lanterne de droite à gauche qui déclenche un grand crissement qui ouvre les grandes portes de la ville. Le convoi s’ébroue alors de nouveau et glisse sur la glace pour entrer dans la ville où y règne un silence hivernal. Ce dernier entre alors dans une large avenue aux bâtiments clairsemés au milieu de parcs et de jardins. Il s’arrête à l’arrière d’une large bâtisse entourée de hauts murs dont le faîte est couronné d’éclats de verre pris dans le mortier. Deux gardes royaux habillés de blanc et de galons d’or, portant mousquet de façon protocolaire, semblent garder une grande grille d’apparat. D’un signe les gardes ouvrent les grilles menant dans un grand jardin. L’irrégularité du jardin est masquée par la symétrie de deux longs parterres rectangulaires terminés d’un rond-point de treillages givrés, des statues de glace ressemblant à de grandes amphores portent des bougies incandescentes amènent les invités dans une allée centrale qui vient buter sur un grand bassin circulaire en marbre décoré d’un groupes d’amour et de tritons de plomb emmaillotée dans la glace.

Sortant par une grande fenêtre à double battant, accompagné de quatre gardes royaux, un grand homme sec, un peu voûté et ayant une large cicatrice creuse sur sa tempe. Sa bouche pincée se mord l’intérieur des lèvres. La croix de l’ordre de Saint Michel suspendue à un cordon noir renforce l’austérité d’un strict habit sombre. Il salue un homme sortant d’un des traîneau et qui porte une tenue de la dernière mode parisienne, de couleur sombre mais ornée d’un brocart argenté et d’un masque de grande beauté qui surprends son hôte. L’hôte se présente sous le nom de Monsieur le duc de Beaufort, ministre plénipotentiaire de Béatrix à Moscou. L’invité lui répond sous le nom de Monsieur de Fribourg de Breilles ayant mission de le remplacer dans la semaine, le temps de la passation de pouvoirs entre les deux personnalités. A ce moment là, les deux hommes s’observent pendant quelques instants et pénètrent dans le manoir du consulat de France. Ils débouchent sur une sorte de terrasse intérieure qui se révèle être la partie supérieure d’un escalier de pierre descendant dans une vaste salle par deux révolutions symétriques. Cette salle est une pièce carrelée, percée aux deux bouts de croisées dissimulées par de lourds rideaux, avec une cheminée faisant face aux arrivants. Des étagères de bois couvrent la presque totalité des murs. Des poutres apparentes noircies par trois lourds chandeliers de cristal brillant de mille feux forment un plafond relevé. Au dessus de la cheminée, un grand crucifix offre la vision d’un Christ d’ivoire aux bras allongés vers le haut. Une trentaine d’invités sont dans la salle sans compter les pages ou valets, dont une dizaine dansent un menuet de Rameau orchestré par deux violonistes et un violoncelliste au coin de la grande salle. Plusieurs personnes semblent observées l’arrivée des deux ambassadeurs d’une façon intéressée.

Après les quelques présentations d’usage aux français vivant à Moscou, Monsieur de Beaufort présente le représentant de la Douma de Moscou, le sieur Victor Amalianov, à Fribourg de Breilles. Homme de taille moyenne, cheveux blond mi longs et yeux bleus marquent un pourpoint de toile de lin de couleur noir avec un manteau court en fourrure retourné sur les épaules. Deux lourdes brassières de cuir couvrent ses bras et il porte une épée sur sa hanche. Celui-ci se montre ravi de l’arrivée de cette nouvelle personnalité alors que le duc de Beaufort semble exprimer une forme de dégoût royal envers cette personne. Le sieur de Breilles réponds alors courtoisement au représentant de la Cour de Moscou en lui indiquant sa volonté d’une bonne entente entre leurs princes respectifs. Suite à cela une parole malencontreuse de Miroslav Spartak, le prétendant au titre de ministre plénipotentiaire des cinq principautés de Russie, le duc faillit l’étrangler mais il fût détourné de sa colère par une moquerie de monsieur de la Valette, l’intendant du nouvel ambassadeur, chargé du Secret du Roy. Ce dernier terminera sa course à quelques pas de la fontaine dans le parc. La réaction du sieur Amalianov et du sieur Spartak calment alors la frénésie du duc par des paroles plus doucereuses. Pendant ce temps, le sieur Fribourg de Breilles va aller rencontrer le consul de France au premier étage du manoir pour lui présenter ses hommages. Entre temps, deux personnes sont arrivés au bal de présentation et se sont retirés tranquillement après avoir indiqué à une personne dans l’ombre d’une tenture le sieur Fribourg de Breilles sortant par une porte cochère.

Suite à ce bal, le reste de la nuit s’achève tranquillement. Le lendemain soir, Victor Amalianov revient pour préparer les nouveaux venus auprès du Prince de la ville. Sa garde personnelle de style mongole entourent alors la grande ville fortifié de briques rouge rouille qui se trouve au centre de la ville : le Kremlin. Ils se présentent alors face à un homme de stature froide et bestiale, portant une grande tunique de style orientale avec des brocarts d’or et d’argent qui donnent à sa tenue une dignité royale. Le Prince se montre froid mais attentif à l’application de la loi de son domaine : le Domostroï (loi patriarcale mettant en avant l’autorité des seigneurs de la cellule familiale au grands fiefs du saint empire orthodoxe)… Il invite ses nouveaux sujets à la chasse royale au sud de la ville. Pour le sieur Miroslav Spartak, ce sera un honneur de pouvoir démontrer ses talents et avoir le début de l’écoute du Prince quand à ses revendications politiques.

La chasse commence alors à minuit. Après bien des heures de combats contre des sangliers préparés aux anciens arts des Bogatyrs (Tzimisce suivant un code de chevalerie ancien ayant embrassé les idéaux de Constantinople en rejetant les principes des sectes proches de la Transylvanie) et avec la puissance des Nosferatu de toutes les Russies. On note pendant cette chasse l’exploit du sieur Miroslav qui tue seul un sanglier, et, aussi, le manque de don pour se repérer dans l’espace du sieur de la Valette qui se retrouve seul face aux problèmes des lupins dans cette forêt. Ce qui étonne encore, c’est la « gentillesse » des lupins qui ne posent pas de problèmes au sieur de la Valette après l’avoir attrapé physiquement et mentalement. Cette histoire est peut-être le début d’une nouvelle intrigue politique ? Nul ne le sait. A la fin de la chasse, les français rencontrent Ilya Mouromets, le praesidium de la Douma de Moscou. Celui-ci entre dans la forêt dans la plus grande discrétion sans s’adresser à ces derniers.

La nuit suivante, les français assistent à une rixe entre deux factions de dockers sur les quais de la Moskova. La première faction est celle d’une nouvelle Guilde de transporteurs sous la direction d’anglais dont un dénommé Lord Northwater. Ce dernier loge au consulat des trois royaumes britanniques. La seconde faction est celle de l’ancienne Guilde, celle des Pototsky. Les français sont alors invités secrètement par le chef de la guilde : Igor Pototsky. Ils arrivent dans un manoir au sud du quartier des artisans où des gardes sont en grande excitation. Leur capitaine, Umberto Conti, est lourdement blessé par les dernières rixes en ville. La pièce où le chef des Pototsky les reçoit est sombre et poussiéreuse, seulement éclairée par une petite fenêtre rectangulaire au-dessus du bureau. Igor est assis à son bureau, complètement dissimulé par un rideau de couleur sombre. La pièce empeste l’alcool et les français peuvent voir que le prince Pototsky a déjà pas mal bu. Derrière le vieux prince se tient un jeune homme de grande prestance au visage angélique, aux longs cheveux noirs et aux yeux brillants, son fils : Dimitri Pototsky. Le vieux explique alors que la Guilde Marlov, principale guilde des artisans, est en ce moment face à de grands problèmes avec l’attaque de plusieurs de ces convois et aussi face à l’influence grandissante des espagnols en son sein. La vieille Guilde Pototsky semblant incapable de garantir la protection des marchandises, les Marlov ont aidés le développement d’une nouvelle guilde de transporteurs en ville et dans la principauté de Moscou et de Novgorod. Le vieil homme obtient alors des français leur aide en échange de privilège sur le convoi des transports de bois sur tout le territoire de Moscou. C’est en sortant que les français apprennent de la bouche même du fils que trois factions agissent en sous main : le consulat d’Espagne (Gianfranco Villanova), Ilya Mouromets et enfin les anglais (Northwater). Puis, en sortant, les français rencontrent une dénommée Danila Sulypovitch qui conseille aux sieurs de Breilles et la Valette de rencontrer le plus vite possible Anna Porphyrogénète. Dubitatifs, les deux français oublieront cette information capitale plus tard. En même temps, elle invite les français dans sa demeure au centre du quartier des artisans s’ils souhaitent la rencontrer. (Fin de la première séance)

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Message  Invité Mar 17 Juin 2008 - 19:56

Récapitulatif des évènements de Versailles (je vais vous indiquer les points importants et ATTENTION, distinguez ce que savent vos personnages et ce qui est écrit là) avec en prime un extrait du psaume des rois :

Psaume des rois (texte qui se trouve sur le frontispice de la chapelle de Versailles) :

Seigneur, laisse tous ceux qui se réjouissent de ma ruine,
et qui se croient supérieurs à moi,
se nourrir de honte et de déshonneur,
donne du plaisir à ma justice
au nom de la vérité et de ma loyauté,
je me vengerai de toi.

1 - Sa Majesté Louis XVI a dit ces paroles au duc d'Orléans pour débuter les festivités de la Cour en l'honneur du sacre :

" Je ne suis qu'ici qu'en tant que porte parole de la France, vous regardant dans votre travail, en effet vous avez l'air occupé ces temps ci, dorénavant vous n'aurez plus besoin de travailler inutilement, ....
(début de l'aparte) bien sûr c'est une autre histoire, si vous voulez une guerre contre le roy, vous l'aurez.... (fin de l'aparte) "

Le Prince quitte alors la galerie des glaces semblant aussi surprise que ceux qui ont entendu la conversation.

2 - Présentation des nouveaux ambassadeurs anglais et russe.

3 - Affaiblissement général des vampires au sein du palais et des jardins de Versailles après que monsieur de pardaillan ait touché les deux obélisques de son sang, ensuite un attentat est porté contre monsieur de Pardaillan près du bosquet de la Colonnade.

Les deux obélisques près de la statue de Calliope semblent avoir une aura blanche et jaune dorée à la fois au sein du bosquet de la Colonnade.

4 - Une discussion secrète se tient entre plusieurs personnes dans les souterrains de Versailles entre Amandine et deux personnes. Nul ne sait quel est le secret que cela renferme.

Entre temps à Cologne, Monsieur de Breilles rencontre monsieur et madame de Cagliostro dans une auberge... Il y apprends que monsieur de Vilecourt y a résidé pendant des années.... Il aurait un infant, qui est détruit au cours d'une lutte brève et expéditive entre le bretteur nosferatu et le vieux général ventrue. Il découvre deux plis contenant, l'un contenant un poème latin, l'autre un poème étrange qui semble résonner dans l'air et réveille des chiens morts dans les rues. La bataille s'engage et monsieur d'Artois (serviteur de monsieur de Breilles) se transforme en sorte de monstre qui veut le tuer. Au même moment, des voix semblant sortir de nulle part semble commander les chiens morts vivants.... Sentant le piège de ces informations, monsieur de Breilles repart avec son nouvel ami (anselme) en direction de Paris et de Versailles....

5 - Monsieur de Beaufort est retrouvé plus en torpeur que vif dans une petite maison au quartier du Temple sous la protection de Da'an (sire de Ménaxie Vrahma), monsieur de Malboeuf s'appuie sur ses vêtements pour le reconnaître (une voix venant de nulle part semble l'y aider).... On soupçonne un complot anglais qui se confirme avec le retour en sang de Lord Aschburry à l'ambassade anglaise.

6 - Amandine apprends de la bouche de Misha (qu'elle a récupéré grâce à l'ancien bailli de l'observatoire) que Jacek serait enfermé au nord d'une ville nommé Klausenbourg.... Elle apprends en outre qu'il a été envoyé pour retrouvé au plus vite messire Treimmer et messire Basquany pour les ramener en Hongrie sain et sauf. En outre, Misha prévient Amandine d'une possible traîtrise de l'actuelle protectrice assamite du Prince de France et que ce message devait arriver au plus vite à Klauss pour prévenir les gens de Versailles.

7 - Au cours d'un entretien étrange, le Prince ordonne que monsieur de Pardaillan soit enfermé au plus vite.... pendant la traversée de la galerie des glaces, l'arrivée de plusieurs courtisans curieux rompt la chose et une voix arabisante venant de quelque part semble troubler profondément Aisha qui se retire étrangement plutôt qu'accomplir son devoir. Monsieur de Pardaillan s'entretient alors secrètement avec monsieur de Malboeuf sur la situation actuelle de Paris et ils semblent craindre le pire.

8 - pendant une réunion organisée par le Prince pour parler du secret de certaines informations, le Prince semble pris tout à coup de sommeil, monsieur de Tréville semble étrangement absent et les épines de la rose s'effondrent quand Aisha apparait dans le dos du Prince.... Consciente de ce danger, Amandine puise alors dans les ténèbres pour appeler les créatures des abysses qui reçoivent l'ordre de l'arrêter. Immobilisé, Lord Buckingham tente de tuer monsieur de Pardaillan qui essayait de soustraire le Prince à l'assamite..... La bataille s'engage et il ne faut qu'un coup violent de monsieur de Malboeuf et d'Amandine pour mettre les ennemis à terre..... le Prince semble se réveiller et Tréville aussi. A ce moment à, la porte s'ouvre et la coterie de monsieur de Verneuil entre dans la pièce épée à la main..... Le prince se retire dans ses appartement s avant de remercier ses sauveurs comme il se doit....


Ces informations permettront de mettre à plat les trois séances de Versailles..... Je peux répondre à vos questions si vous le désirez évidemment....

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Message  Invité Mar 17 Juin 2008 - 20:09

Medmenham - flash back -

Voici les évènements en 1649 :

1 - Arrivée de jeunes français fuyant leur royaume en proie à la vindicte d'un seigneur français. Londres est en attente du futur procès du Roi Charles Ier Stuart. Cromwell est le nouveau protecteur des anglais. La ville londonienne est en proie à la fureur de différents seigneurs ventrues qui se font une guerre politico-occulte dans toute la région.

2 - Les personnages partent pour un petit comté au sud ouest de Londres, le comté de Medmenham. Après une réception fort énigmatique et froide, ils commencent à se poser des questions sur leur hôte... ce qui retient leur attention est une statue galloromaine représentant une ancienne déesse celte. Ils apprennent rapidement que cette déesse portait autrefois le nom de Séquana...

3 - Ils apprennent qu'un ancien monastère cistercien était dans le domaine il y a plusieurs siècles et a subi de plein fouet la révolution religieuse de Henri VIII. Il y aurait aussi certaines ruines sous le lac à l'ouest du gros bourg du comté. On pouvait détecter au niveau des ruines une ancienne chapelle romane incrustée d'entrelacs celtiques et de lettres étranges...

4 - Ils apprennent aussi que le maître de maison réaliserait des expériences occultes - alchimiques - au sein de son grenier et aussi du sang humain. Ils ont aussi une série de parchemins de peau humaine avec des transcription poètique occulte... Ils fuient la ville rapidement pour se réfugier vers le sud de l'angleterre.


Dernière édition par Nono le Mer 9 Juil 2008 - 17:12, édité 1 fois

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Message  Invité Mer 9 Juil 2008 - 14:00

Voici un petit aperçu historique de la situation en 1775 de la Hongrie sous la reine Marie Thérèse de Hongrie. Ce sont les infos de premières mains, elles ne peuvent être plus détaillées. Sauf Pour Amandine qui dispose de suffisamment de contact sur place. Bonne lecture.

Aperçu de la maison d'Autriche sous Joseph II

La maison d'Autriche se maintint en possession de la royauté, malgré les efforts continuels des Turcs et les révoltes successives de Botchkay, prince de Transylvanie, et soutien des protestants, de Béthlen Gabor, de Georges Rakoczy, et enfin d'Emeric Toekély. Fort des succès de ses armes contre les Turcs, l'empereur. Léopold ler fit déclarer par la diète, à Presbourg (auj. Bratislava, en Slovaquie), en 1687, la couronne de Hongrie, héréditaire dans sa maison. Cette hérédité fut étendue en 1722 à la descendance féminine de la maison de Habsbourg. Les victoires du prince Eugène amenèrent la paix de Carlovvitz (1699), et celle de Passarowitz (1718), qui affranchirent la Hongrie de la domination turque.

Une nouvelle révolte, dont le chef fut François Rakoczy, fut apaisée par le traité de Szathmar, qui rendit à la Hongrie, en 1711, ses anciens privilèges.

Au cri de sa noblesse : Moriamur pro rege nostro Maria Theresa! la nation se leva tout entière pour soutenir Marie-Thérèse, en 1741. La Hongrie avait conservé son ancienne constitution, la plus aristocratique de toute l'Europe, qui perpétuait les Magyars dans leur position de conquérants. Tous les droits politiques et sociaux leur étaient exclusivement réservés, quoiqu'ils ne formassent pas la moitié de la population du royaume. Les lois, proposées et sanctionnées par le roi, étaient discutées par la diète, composée de 2 chambres : la table des magnats, où siégeaient les prélats et les grands du royaume sous la présidence du palatin, qui était un archiduc représentant le roi, et la table des états, où siégeaient les députés de la noblesse inférieure, des villes et des districts. La diète se réunissait tous les trois ans à Presbourg.

La Transylvanie, peuplée de Hongrois, de Sicules, d’Allemands (" Saxons ") et de Roumains, était dominée et gouvernée par la noblesse hongroise, qui élisait un prince. Certains d’entre eux, comme Sigismond Báthory, Gabriel Bethlen et les Rákóczi jouèrent dans la politique européenne un rôle disproportionné avec les dimensions et la puissance de leur petit État.

Dans la mesure où les Habsbourg respectaient l’autonomie politique, les libertés religieuses, l’immunité fiscale, les Hongrois restaient calmes. Mais lorsque Joseph II voulut imposer l’allemand comme langue de l’administration (en remplacement du latin et du hongrois), il se heurta à la résistance de tout le pays. La philosophie des Lumières fortifiait en effet une conscience nationale demeurée vive et suscitait le besoin d’une rénovation profonde. Si dans une large mesure les milieux de l’aristocratie étaient ralliés aux vues de la cour de Vienne, la moyenne noblesse et les intellectuels manifestèrent leur opposition en épurant la langue hongroise (vers 1775) puis en réclamant des réformes politiques radicales (mouvement révolutionnaire d’Ignác Martinovics).

La situation du pays est donc insurectionnelle et Vienne a donc envoyé une armée à Bucarest et dans les villes clés de la Hongrie orientale (Brasov, Medias et Cluj Napoca).

Vampiriquement, Vienne est sous l'égide direct du Prince Etrius et Major Domo du Clan Tremere. Il a une série de soutiens politiques (comme le prince de Medias Nova Arpad), et surtout, est aidé par l'action conjuguée du Justicar Brujah qui dispose de quatre côteries de combats et de deux côteries de renseignement. On peut noter que toutes les villes des Siebenburgen disposent d'un Archonte fort qui dispose d'au moins 500 soldats sous leur influence directe.

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Message  Invité Mer 9 Juil 2008 - 14:10

Après certains chemins de traverse, les personnages conduits par Dame Amandine de Mirepoix arrivent à Mediash.

Ils ont du subir pendant tout le voyage l'inconfort que représentait le jeune et fougueux prince cardinal de Rohan que sa Majesté le Roi Louis XVI a nommé pour le représenter pendant cette expédition. Il était accompagné d'un certain Frère Thomas et de quatre sbires déguisés en moinillons. Le voyage avançant cahin-caha, ils ont du se rendre compte que le frère Thomas était un danger après quelques légères mais couteuses infractions à la mascarade devant un homme de foi. Et ils ont supprimés chacun des gardes de Frère Thomas et ce dernier sous une pluie de carreaux d'arbalètes.

Mais un moine était parvenu à s'enfuir vers Mediash....

Arrivée à Mediash, se présentant à un Justicar Don Cerro passablement agacé de ce retard (ainsi que le prince), les personnages parviennent à arrêter un complot visant à enlever le brave cardinal et faire croire à sa mort. Ils ont entre leurs mains désormais le peu habile et malchanceux Ivan Antonescu, Major Domo de la famille Bathory envoyé ici pour cette mission.

Puis, ils découvrent alors grâce au justicar que le cardinal est la proie de multiples complots dans la mesure où il a été dominé à de nombreuses reprises et que Frère Thomas aurait été un bon élément pour détruire les dites dominations.

Après une rapide mais alors très rapide présentation au prince de Mediash, les personnages repartent vers une ville que Amandine a nommé sous le nom de Schasburg (Sighisoara). Mais le justicar les prévient alors qu'ils sont louper le convoi militaire pour Klausenbourg et en plus qu'il ne dispose pas de convoi vers cette ville pour les nuits à venir....

le Convoi de la dame d'ébroue alors vers quelle direction ? suite au prochain épisode....

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