Mare Nostrum AD 325 - Portail de discussion, d'infos...

Salut,

Cette section concerne la future partie que je veux lancer, ne sachant pas où la mettre sinon à part là . A ceux qui le désirent, il y aura des one shots pour mieux appréhender une époque très proche et si éloignée à la fois de nos visions contemporaines.

Enfin, il n'y a pas de limitations vis-à-vis du nombre de joueurs (enfin pour l'instant) et un avantage peut apparaître pour ceux qui ne peuvent se libérer aisément (il se reconnaîtra ), c'est qu'elle peut se faire en rp dans le futur. Evidemment, parfois, il faudra venir aux séances .... je tiens au côté sociable du jdr tout de même.

Pour les petits malins du wikipédia (ils se reconnaîtront ), évitez de chercher des infos sur les lignées ou sur les Valerii en général. Cela perdrait de sa saveur pour vous et pour moi.

Vous êtes libres de donner vos points de vue mais je préfère prévenir :

Seules les personnes intéressées - qu'elles jouent ou non plus tard - et voulant apporter une pierre à l'édifice sont les bienvenues.

Nono

PS : je n'hésiterai pas à modérer si les propos n'apportent rien au débat, de même si certaines idées sont là pour faire rire le commun des mortels (sic transit)

Salut,

Voilà, je travaille sur une campagne de vampire (oui, je sais, encore une, mais que voulez vous ) qui se situe à Rome en 325.

Comparativement aux campagnes habituelles, vous jouerez des membres d'une lignée, d'une gens appelée Valerii au sein de l'antique Rome. Evidemment, les moeurs politiques romaines, donc les coups bas, ne disparaissent pas mais nul ne peut agir trop visiblement contre les quatre principes cardinaux même de sa famille (loyauté, intégrité, honneur et vertu) qui régissent l'existence même des Patriciens. C'est comme si vous vouliez jouer des nobles sans aucun privilège pendant le Moyen Age, le problème à Rome, c'est que le coeur des privilèges est la réputation de la gens... alors si ses problèmes internes sont connues, ses ennemis la feront disparaître politiquement et physiquement.

Ensuite, ce sont les joueurs qui définissent, en réunion préparatoire de la campagne - dans cette section dans un premier temps -, les bases de leur lignée au sein des Valerii (nom imposé : Corvus ; Falto ; Flaccus ; Laevinus ; Maximus ; Messalla ; Potitus ; Publicola ; Volusus). Chaque lignée sera choisie librement par la majorité des joueurs mais comme on ne décide jamais où on naît... ce sera une surprise au niveau de son Histoire, de ses personnages importants, etc. Partant de là, les joueurs décident des limites de chaque principe cardinal de la lignée ; par exemple, la vertu aura pour limite d'interdire les rapports entre frère et soeur (chose commune sous l'antiquité) ; autre exemple, la loyauté impose que nul n'adopte librement sans le consentement de la lignée... Bref, je vous en cite deux mais il pourrait y en avoir tellement. Attention à un piège (que je suis généreux ), vous êtes libres de promulguer toutes les lois que vous voulez dans chaque principe, mais, plus vous le faîtes, plus vous devrez jouer finement pour ne pas les violer et cela finit toujours par arriver.

Enfin, vous commencez humain et les étreintes seront encore plus particulières. Je m'explique un peu, pour éviter des râleries, un personnage (sauf si deux personnages de même niveau remporte la mise ) sera choisi par deux ou trois PNJ pour devenir le nouveau patriarche de la lignée romaine (Secundus Pater). Ce dernier deviendra alors le seul à avoir le droit d'étreindre dans la lignée, mais il devra en même temps prendre garde que sa lignée n'explose pas, car il se serait montré trop injuste. Attention (encore trop gentil moi ), le droit d'adoption des humains existent aussi dans l'autre sens, ce serait tellement dommage de voir un des membres de votre lignée devenir plus tard votre pire némésis.

La génération potentielle peut être 5ème pour le meilleur (là, il n'y en aura qu'un, je le dis de suite), 6ème pour le ou les bons et la suite dépendra... du bon vouloir du ou des élus.

Nono

PS : Si un des personnages meurt, il faut refaire un personnage dans la même gens. Si un des personnages quitte la gens, il refait un personnage.

Rome



Constantinople



Alexandrie

Le rêve de Constantin le grand

Anno domini 325

20 mai-19 juin : Constantin Ier convoque et préside le concile œcuménique mondial des évêques à Nicée, en Asie Mineure. Le Concile s'ouvre le 20 mai en présence de 318 évêques et de légats du pape Sylvestre Ier.

Les quatre évangiles de Luc, Marc, Matthieu et Jean sont seuls retenus. Les autres dits évangiles apocryphes sont détruits. Certains d'entre eux, cachés, ne seront redécouverts qu'au XXe siècle.

L'arianisme est déclaré hérétique, l'identité de nature de Dieu et du Christ ayant été reconnue au cours du concile. Arius est exilé provisoirement ainsi qu'Eusèbe de Césarée. Publication du Symbole de Nicée qui est le texte du Credo. L'Église catholique fixe définitivement la fête de Pâques au premier dimanche après la pleine lune de printemps.

29 mai : Loi interdisant de séparer dans les ventes les familles d'esclaves.

19 juin : Clôture du Concile de Nicée.

7 octobre : Les classes sociales du Bas-empire sont figées et deviennent héréditaires. Constantin, par la loi du 7 octobre 325 et la circulaire du 24 octobre 326, attache définitivement les membres des Sénats municipaux, les curiales, à leurs fonctions administratives et financières ; c’est aussi le cas pour les personnels des bureaux (les officiales), les soldats dont les fils sont astreint au service comme leur pères.

Traité d'Arius sur les contradictions du dogme de la Trinité. Arius affirme que le Christ ne possède qu’une divinité secondaire, qu’il n’est pas « de même nature que le Père ».

Un droit écrit

Dans les premiers temps de la civilisation romaine, les rois étaient les maîtres des règles établissant les rapports des personnes entre elles et avec l'autorité. Le rôle du roi était d'énoncer ces règles au fur et à mesure des besoins, selon son bon vouloir, tout en respectant une certaine coutume.

Dans ce système de droit purement oral, la justice n'était pas toujours appliquée avec équité. Les magistrats qui en étaient chargés étaient des patriciens. La plèbe, la classe plus pauvre, se sentant lésée, a exigé la publication des lois. Une commission composée de 10 personnes a donc rédigé la loi des XII Tables. Ce code marquait le passage du droit oral au droit écrit, au 5e siècle av. J.-C.

Dans ce code, on allait désormais interdire les lois qui privilégiaient un individu en particulier pour les rendre universelles : la même loi pour tous. Cette loi des XII Tables régissait le droit civil, le droit criminel et le droit religieux.

Exemples de lois :

« Si quelqu'un brise un membre, s'il n'y a pas transaction avec lui qu'on lui en fasse autant. Si quelqu'un cause dommage à un autre, que la compensation soit de 25 livres de bronze ».
« Si on fait un vol pendant la nuit, et si on le tue, que sa mort soit considérée comme
légitime ».
« Si un patron cause sciemment un dommage à son client, qu'il soit consacré aux dieux (c'est à dire mis à mort) ».
L'État et le droit

L'État est chargé de faire respecter la loi. Le Forum, lieu de rencontres politiques, sert aussi de lieu de maintien de l'ordre public. C'est dans les basiliques, autour du Forum, que les jugements sont rendus après un procès.

Dans le nouveau code, un citoyen pouvait faire appel à l'assemblée du peuple s'il était sous le coup d'une condamnation à la peine capitale. Cependant, les citoyens et les étrangers n'avaient pas les mêmes droits; une offense faite à un homme libre avait plus de valeur qu'une offense faite à un esclave.

La citoyenneté

Dès le début de l'Empire, la société romaine se divise entre patriciens et plébéiens. Les premiers, des citoyens riches, pouvaient accéder au sénat, à la magistrature et au poste militaire. Les citoyens les moins fortunés, les plébéiens, pouvaient s'enrôler dans l'armée pour une longue carrière d'une vingtaine d'années. À leur sortie de l'armée, ils recevaient une somme d'argent symbolique ou un lot de terre. Ceux qui n'étaient pas encore citoyens le devenaient.

En étendant son statut de citoyen à la péninsule italienne, puis à tous les hommes libres de l'Empire, en 212, Rome brise la notion de vainqueurs et de vaincus. En intégrant les peuples conquis, Rome s'assure une collaboration des dirigeants des provinces et favorise ainsi la cohésion de l'Empire. Tous les citoyens peuvent désormais profiter des avantages du statut de citoyen : voter, se marier, posséder des biens, pouvoir les léguer, etc.

Rome reste cependant une société d’exclus qui ne sont pas citoyens : les étrangers, les esclaves, les affranchis et les femmes.

Le pouvoir politique

À l'époque de la Royauté la répartition des citoyens se faisait selon leur fortune et selon la qualité de l'équipement qu'ils pouvaient acquérir pour aller combattre.

À l'époque de la République, à Rome, le pouvoir appartenait au peuple mais il était exercé par des représentants, les magistrats. Certains s'occupaient des finances, d'autres étaient responsables de l'approvisionnement des villes, de l'inspection des édifices et de l'organisation des jeux. Certains étaient chargés de la justice et d'autres encore étaient à la tête du gouvernement et de l'armée.

Tous ces postes étaient entre les mains de patriciens, des riches qui n'avaient pas besoin de travailler pour s'assurer un revenu. Ce pouvoir s'exerçait au détriment de la plèbe qui, pour exercer un contrepoids, réussit à obtenir ses magistrats, les tribuns. Ils avaient un droit de veto (opposition).

Patriciens et plébéiens se réunissaient dans des assemblées annuelles pour élire les magistrats et voter les lois. Une autre assemblée, le sénat, fixait le budget, décidait du nombre de légionnaires à recruter, déclarait la guerre et signait les traités de paix.

Un État centralisé autour de l'empereur

À l'époque de l'Empire, c'est l'empereur qui devient le dépositaire du pouvoir. Il était le chef de l'armée et possédait un droit de veto sur le sénat dont il nommait les membres. Il était aussi chef de la religion. Il contrôlait la frappe de la monnaie. Il était entouré d'un conseil privé et une administration impériale dirigée par des hauts fonctionnaires qui dépendaient de lui.

Rappelons que depuis 27, l’empire romain a divisé les immenses espaces qu’il doit gérer en deux types de provinces : à la différence des provinces sénatoriales, gérées par le Sénat, les provinces impériales, les plus nombreuses, sont celles où stationnent les troupes et dont l’empereur se réserve personnellement le gouvernement. Mais les différences atteignent aussi l’administration : alors que les gouverneurs des provinces sénatoriales, appelés proconsul, ne bénéficient que d’un mandat d’un an du 1er juillet au 30 juin, parfois prorogé pour 2 ou 3 ans, les gouverneurs des provinces impériales, représentants de l’empereur avec des pouvoirs beaucoup plus étendus, ne sont pas nommés par l’empereur pour un temps déterminé, même si l’usage est de leur donner un mandat de 5 ans.

Les gouverneurs des provinces du peuple romain étaient des promagistrats (c'est-à-dire d'anciens magistrats supérieurs, toujours sénateurs) nommés pour un an par le Sénat et portant le titre de proconsul ou de propréteur. L'attributation de ces provinces se faisait par tirage au sort au Sénat, mais il n'était pas rare que l'empereur intervienne pour casser une désignation ou influencer une nomination. La plupart des provinces du peuple romain avaient à leur tête un propréteur, mais l'Afrique — appelée « Afrique proconsulaire » — et l'Asie, plus riches, étaient gouvernées par un proconsul. Le prestige de ces deux provinces, ainsi que les grandes possibilités d'enrichissement qu'elles représentaient, en faisaient des postes de fin de carrière par excellence : le gouvernement de l'Afrique ou de l'Asie s'obteait en général une quinzaine d'années après le consulat, et il s'agissait du sommet de la carrière d'un sénateur, avec la préfecture de la Ville.

Le gouverneur était aidé par un ou plusieurs legatus pro praetore (légat pro-préteur) de rang questorien (c'est-à-dire des sénateurs, nommés eux aussi par le Sénat). L'empereur désignait néanmoins des procurateurs dans ces provinces, pour la gestion de ses domaines personnels, la perception de certains impôts et la direction des mines. Les revenus fiscaux de ces provinces, fort prospères pour la plupart, alimentaient le trésor du Sénat, l'ærarium Saturni, ce qui pour Auguste contribua encore à se concilier le Sénat.

Liste des provinces sénatoriales à l'avènement de Septime Sévère (193 ap. J.-C.) :

- Provinces proconsulaires : Afrique proconsulaire, Asie.
- Provinces proprétoriennes : Bétique, Gaule narbonnaise, Sicile, Macédoine, Achaïe, Crète, Lycie et Pamphylie, Chypre, Cyrénaïque.

Liste des provinces impériales à l'avènement de Septime Sévère (193 ap. J.-C.) :

- Provinces consulaires : Hispanie citérieure, Bretagne, Germanies supérieure et inférieure, Pannonies supérieure et inférieure, Dacies, Dalmatie, Mésies supérieure et inférieure, Cappadoce, Syrie, Syrie-Palestine (ancienne Judée).
- Provinces prétoriennes : Numidie (district militaire), Lusitanie, Gaule aquitaine, Gaule lyonnaise, Gaule Belgique, Rhétie, Norique, Thrace, Bithynie et Pont, Galatie, Cilicie, Arabie.
- Provinces équestres : Maurétanies (tingitane et césarienne), Sardaigne, Corse, provinces alpines (Alpes maritimes, cottiennes, grées, pennines), Épire.
- Cas particulier : Égypte.

Ô caesar,

Excusez mon manque de perspicacité mais je résume pour savoir si j'ai bien compris:
On ne fait pas de background mais au lieu de cela les joueurs se réuniront lors d'une première séance pour définir leur lignée.
Mais parle-t-on d'une lignée humaine patricienne ou vampirique ?
Par joueur plus ou moins bon, tu entend leurs agissements en tant qu'humain lors des premières séances.

C'est bien cela ?
Au final, qu'attends-tu de nous, caesar ? (à part mourir pour toi dans l'arêne, bien entendu...)

Dans ce cas, j'invite tout le monde à regarder la série Rome saison 1 et 2.
Accord parental obligé pour les moins de 16 ans.

ChristopheB a écrit: On ne fait pas de background mais au lieu de cela les joueurs se réuniront lors d'une première séance pour définir leur lignée.

Efectivement, vous ferez un background (chaque personne dans une famille à ses petits secrets, voire son jardin secret) seulement après la définition de la lignée et des principes cardinaux de celles ci

ChristopheB a écrit:
Mais parle-t-on d'une lignée humaine patricienne ou vampirique ?

Lignée humaine patricienne (cad Noble), il y a en général une bonne dizaine de lignées dans chaque gens patricienne ; les lignées vampiriques existent déjà

ChristopheB a écrit:
Par joueur plus ou moins bon, tu entend leurs agissements en tant qu'humain lors des premières séances.

Effectivement, je sais, c'est parfaitement subjectif mais qu'est ce qu'il y a d'objectif dans les rapports humains. Détail : je dispose quand même de six critères personnels (la politique ; le leadership ; l'empathie...)

ChristopheB a écrit:
Au final, qu'attends-tu de nous, caesar ?

Dans un premier temps, il faudra choisir une lignée (seulement dans celles que j'ai indiqué) et ensuite les lois définissant les principes cardinaux de la lignée. Après (je me répète ), il sera temps de faire les bg de vos personnages.

sherazina Bessarab a écrit:
Dans ce cas, j'invite tout le monde à regarder la série Rome saison 1 et 2. Accord parental obligé pour les moins de 16 ans.

Je le conseille aussi vivement ... C'est une excellente indication des moeurs politiques romaines sous le haut puis le bas empire romain qui se finissent souvent par un réglement des plus sanglants.

Pour résumer, ce que tu attends Nono, c'est de connaître les positions politiques et religieuses de la lignée (dans sa globalité, la position officielle)?

Donc des réponses à des questions du style
- la lignée est elle païenne ou s'est elle convertit au christianisme?
- quels sont les commerces entretenus par la lignée? (esclavage, épices, bois précieux, soierie, minerai)
- la position de la lignée vis à vis des réformes sociales de Constantin Ier
- positionnement vis à vis de Constantinople et de la politique de travaux
- positionnement vis à vis des avantages impériaux pour s'installer à Constantinople (conservateur ou progressiste)

C'est ça?

YannD a écrit:
Pour résumer, ce que tu attends Nono, c'est de connaître les positions politiques et religieuses de la lignée (dans sa globalité, la position officielle)?

Oui, c'est une optique que je n'avais pas vu immédiatement mais elle peut très bien se concevoir dans les principes cardinaux.

YannD a écrit:
Donc des réponses à des questions du style
- la lignée est elle païenne ou s'est elle convertit au christianisme?

La gens est déjà chrétienne dans son ensemble, mais, rien n'indique que la lignée est rejoint la nouvelle religion... c'est à vous de voir

YannD a écrit:
- quels sont les commerces entretenus par la lignée? (esclavage, épices, bois précieux, soierie, minerai)

STOP, ce point sera décidé automatiquement lors du choix du nom de la lignée, donc surprise et il faudra faire avec ...

YannD a écrit:
- la position de la lignée vis à vis des réformes sociales de Constantin Ier
- positionnement vis à vis de Constantinople et de la politique de travaux
- positionnement vis à vis des avantages impériaux pour s'installer à Constantinople (conservateur ou progressiste)
C'est ça?

Cela peut se concevoir effectivement dans la ligne politique globale de la lignée

On peut avoir déjà des informations sur les lignées dans ce cas?
Parce que si c'est au hasard, autant jeter un dé et l'imposer

S'il faut donner les backgrounds pour voir s'ils s'inscrivent dans la lignée et qu'on doit choisir la lignée avant de donner le background, c'est le pb de la poule et de l'oeuf

Alors chef?

YannD a écrit:On peut avoir déjà des informations sur les lignées dans ce cas? S'il faut donner les backgrounds pour voir s'ils s'inscrivent dans la lignée et qu'on doit choisir la lignée avant de donner le background, c'est le pb de la poule et de l'oeuf

Alors chef?

Hum, j'avais pas vu sous cet angle. Bon, voici les traits de chaque lignée :

- Corvus : Les Valerii Corvi sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Corvus signifie « corbeau » et Corvinus « de corbeau ». C'est une lignée faisant énormément de commerce avec l'Egypte et la Lybie cirénaïque (Lybie actuelle), elle dispose de nombreux commerçants à travers toute l'Afrique et tient donc une place importante dans le commerce d'esclave et d'or. On la dit attaché à l'ancien culte d'Isis...

- Falto : Plus jeune branche des Valerii, elle donne depuis des années des magistrats compétents dans tout l'empire et dispose de trois sénateurs pro Constantin. Elle ne fait pas commerce et vit essentiellement de ses terres dans la Regio nommée Campanie... On la dit très chrétienne et attachée aux principes sociaux de l'empereur.

- Flaccus : Les Valerii Flacci sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Ils sont les descendants des Valerii Potiti, Caius Valerius Potitus Flacus prenant comme deuxième cognomen Flacus, et ses descendants le gardant en lieu et place de Potitus. Militaires et anciens alliés de Maxentius (premier Auguste tombé sous les coups de Constantin le grand), ils sont attachés aux anciennes valeurs romaines et aux anciennes croyances. En effet, ils estiment que si les anciens Dieux disparaissent des croyances de Rome, Rome disparaîtra en même temps... Cette lignée est en perte de vitesse depuis dix ans a peu près, et, on pense qu'elle risque de disparaître si elle ne trouve pas de protecteurs puissants. On la dit païenne, proche du culte de Minerve.

- Laevinus : Les Valerii Laevini sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Lignée discrète originaire d'Etrurie, elle s'intéresse peu aux affaires de la politique romaine, elle dispose de nombreux comptoirs commerciaux dans les villes gallo-romaines... On dit que cette famille travaille à réunir de nombreux ouvrages dans tout l'empire pour sa collection personnelle. Enfin, nul ne sait si elle est attachée aux anciens cultes ou à la nouvelle religion...

- Maximus : Les Valerii Maximi sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Ce nom est d'abord porté par Marcus Valerius Maximus, frère de Publius Valerius Publicola, l'un ajoutant Maximus tandis que l'autre forme la branche des Valerii Publicolae. Elle est la troisième lignée des Valerii... Elle a donné de nombreux dictateurs et consuls pour Rome. Elle dispose de terres importantes en Hispanie et en Gaule. De plus, trois tribuns actuels des armées de l'empire sont au service de Constantin, dont l'un d'entre eux n'est autre que le tribun de la garde des pérégrins (légion particulière car composée uniquement de gallo-romains)... Son influence politique est crainte et, on recherche toujours son appui. On dit qu'elle est chrétienne même si elle avait des sympathies pour les écrits d'Arius.

- Messalla : Les Valerii Messallae sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Le cognomen Messalla a été donné à Manius Valerius Maximus Corvinus après qu'il a prit Messalla (Messine), pendant la première guerre punique. Fortement implantée dans la nouvelle Carthage (reconstruite par les Romains), cette lignée dispose énormément d'esclaves et de guerriers venant d'Afrique subsaharienne sous son commandement. On peut noter qu'elle fait énormément de mécénat par la création de Collegium pour les jeunes artisans de la côte nord africaine... On la dit païenne et suivant du culte d'Appolo.

- Potitus : Les Valerii Potiti sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Ils descendent des Valerii Publicolae. Cette lignée a quasiment disparue et n'a plus l'ombre d'une influence politique à Rome, ses membres étaient autrefois des alliés de Pompée le grand. Elle survit de petits métiers à Rome et son seul mérite est de posséder une certaine influence religieuse avec de nombreux ecclesiastes sortant de ses rangs. On la dit chrétienne.

- Publicola : Les Valerii Publicolae sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Le surnom Publicola (ou Poplicola) signifie « ami du peuple » et est attribué à Publius Valerius Publicola, le consul des débuts de la République romaine, grâce à une série de lois très favorables au peuple, en 509 av. J.-C. C'est la seconde lignée des Valerii, elle dispose de terres importantes dans toute l'Italie, la Salonique et des manoirs à Alexandrie ; le patriarche de cette lignée est aussi le Primus Pater (premier patriarche) qui commande tous les autres patriarches (secundus pater). Cette lignée s'est installée à Andrinopolis lors de la Trétrarchie pour rejoindre Constantin et elle a une solide influence dans le bassin grec grâce à des mariages avec des familles athéniennes et spartiates. On la dit chrétienne.

- Volusus : Les Valerii Volusi sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. C'est la première branche de la famille, descendant de Volusus Valerius, qui, selon Plutarque serait à l'origine de la réconciliation entre Sabins et Romains, ainsi que de la paix signée entre ces deux peuples. Denys d'Halicarnasse confirme que ce serait un descendant des Sabins venus à Rome avec Titus Tatius, qui partage le trône de Rome avec Romulus. Publius Valerius Volusus a deux enfants, dont l'un est le célèbre Publius Valerius Publicola, un des fondateurs de la République, et à qui on attribue le surnom de Publicola, que garderont ses descendants. Les descendants du deuxième fils prendront un autre surnom, Maximus. Son prestige est immense mais elle ne possède plus beaucoup d'influence politique. La plupart de ses terres ont été prises par les nouvelles familles patriciennes, notamment les Julii. Actuellement, elle vit des rentes de l'empire et achète les terres qu'elle peut encore acheter (elle n'a même plus de généraux pour accroître ses possessions terriennes). On la dit chrétienne.

Note :

Cette carte permet de visualiser les provinces romaines quand je les cite.

Pouvoirs des Sénats romains et byzantins

Quand Constantinople devient la seconde capitale de l'empire, Constantin crée également un second sénat dans cette ville : Julien lui confère tous les privilèges du sénat de Rome. Ces deux sénats sont parfois encore consultés par les empereurs dans une oratio sur des sujets législatifs.

Le sénat de Constantinople garde son rôle législatif mais plus celui de Rome. Chaque sénat continue également à être une Haute Cour de Justice à laquelle l'empereur présente les affaires criminelles importantes. Cependant les délits graves commis par des sénateurs ne relèvent plus de leur juridiction, mais des gouverneurs des provinces ou des préfets des deux villes. De même, les affaires civiles des sénateurs relèvent du praefectus urbi. La dignité sénatoriale s’obtient maintenant par transmission et pour occuper certaines charges à la cour, il faut l’obtenir par une faveur particulière de l'empereur sur proposition du sénat.

Devenir sénateur est en effet un des plus grands honneurs qui peut être conférés et cela a plus de valeur que du temps de la république; mais cette charge est très lourde, parce que, non seulement les sénateurs doivent organiser les jeux publics, faire des présents magnifiques aux empereurs, et en cas de besoin faire des donations extraordinaires au peuple, mais encore ils doivent payer un impôt particulier sur leurs propriétés foncières : follis ou gleba. Un sénateur qui n'a aucune propriété foncière est imposé pour deux folles. Ce sont donc seulement les personnes les plus riches de l'empire, peu importe à quel parti ils appartiennent, qui peuvent aspirer à la dignité de sénateur. Une liste de ceux-ci, ainsi qu'un décompte de leurs propriétés, sont transmises à l'empereur tous les trois mois par le préfet de la ville. Les consuls président le sénat, ils sont nommés directement par les sénateurs. 

Il reste maintenant à mentionner certaines des distinctions et des privilèges appréciés par les sénateurs romains:

1. La tunique avec un large chevron pourpre (latus clavus) à l’avant, qui est tissé dans celle-ci et non cousu sur celle-ci comme on le fait d’habitude

2. Une sorte de bottine courte avec la lettre C sur l'avant du pied. Ce C est généralement censé signifier le centum et se rapporter au nombre original de 100 (centum) sénateurs.

3. Le droit de s’asseoir dans l'orchestre des théâtres et des amphithéâtres. Les sénateurs obtiennent cette distinction la première fois de Scipio Africanus Maior en 194. On accorde le même honneur aux sénateurs sous Claude pour les jeux du cirque.

4. Une fois par an on offre un sacrifice à Jupiter dans le Capitole, et à cette occasion on offre un banquet aux seuls sénateurs dans le Capitole; ce droit s’appelle ius publice epulandi.

Juste pour savoir, ce petit sondage, il me semble que que c'est une question à choix multiples puisque mon vote a été comptabilisé !!

D'où ma question : comment est-il géré (dépouillement) ?!

sherazina Besarab a écrit:Juste pour savoir, ce petit sondage, il me semble que que c'est une question à choix multiples puisque mon vote a été comptabilisé !!

D'où ma question : comment est-il géré (dépouillement) ?!

Tout votant peut voter librement pour les lignées qui peuvent l'intéresser, d'où le choix multiple. A partir de cela, se dégagera une lignée qui sera donc le choix du groupe de joueurs.

Le dépouillement se fait automatiquement par la compilation en direct des résultats sur cette section.

Enfin, si deux lignées viennent à être à égalité, le choix sera fait en séance de préparation entre les joueurs présents

Choix définitif :

les Laevinii

Laevinus : Les Valerii Laevini sont des patriciens romains membres d'une branche de la gens des Valerii. Lignée discrète originaire d'Etrurie, elle s'intéresse peu aux affaires de la politique romaine, elle dispose de nombreux comptoirs commerciaux dans les villes gallo-romaines et perses... On dit que cette famille travaille à réunir de nombreux ouvrages dans tout l'empire pour sa collection personnelle. Enfin, nul ne sait si elle est attachée aux anciens cultes ou à la nouvelle religion...

Quelques réponses à d'éventuelles questions :

1 - Le coeur de la " Familia " (ou lignée) se trouve à Alexandrie sous l'autorité du vénérable Valeria Laevinus Augustus Senior (proche de ses 70 printemps) ; une large partie de la lignée oeuvre au classement des recherches les plus prometteuses pour le Museum.

2 - Elle fait commerce de tablettes, parchemins... avec la plupart des villes orientales de l'empire comme Babylone, Damascus ou Jérusalem. De nombreux comptoirs se sont établis pour faire des recherches dans les ruines des anciennes villes mésopotamienne comme Mari ou Ebla.

3 - Votre " Familia " est en querelle avec les Coptes depuis de nombreuses décennies suite à une obscure opposition théologique. Il est vrai que les membres Laevinii sont des agnostiques pour la plupart et embrassent les idées des premiers Aristotéliciens (L'aristotélisme est le nom donné à la doctrine dérivée des œuvres d'Aristote, progressivement adoptée par la scolastique, grâce à la réconciliation de la philosophie d'Aristote et du christianisme.)

4 - Bonii familiales :
- Fois 1 pour développer les connaissances
- + 3 aux connaissances
- Bibliothèque 8 (pour s'instruire)

Pouvez vous m'indiquer les métiers et en quelques lignes le rôle officiel de votre PJ dans la familia des Laevinii des Valerii ?

Les premiers points des personnages :

Christophe : Ancien gladiateur devenu membre de la famille des Laevinii... BG donné

Stéphane : (dixit) S. joue un marchand/baroudeur qui a appris à lire à force de vendre des livres et il connaît sa géographie aussi. S. ne joue pas un aventurier portant un chapeau et équipé d'un fouet (quoique si on peut en trouver avec des lanières abrasives ?).

JC : (dixit) jouera un érudit, occultiste et linguiste. Je crois que c'est bien adapté à la famille. BG donné

Ronan : (dixit) Pour moi, ronan, ou devrais je dire, ronan jouera, un touche à tout voir un touche à rien. Au niveau du commerce j'entends. BG donné

Kevin : (dixit) Quant à moi je pense jouer un membre de la famille spécialisé dans les relations inter-gens, pour le service de la famille Laevinus bien sur, et qui commercera indirectement, bien entendu (des esclaves ou serviteurs s'en chargeront bien sur) , au niveau du commerce des livres. Ce sera un homme aimable, tout à fait charmant et serviable. Bien entendu il se permettra de se mettre de coté quelques livres pour sa bibliothèque personnelle, achetant ceux qui l'intéressent.

Benjamin (Ben) : Herboriste tenant une échoppe de produits exotiques à Alexandrie (jouera de temps en temps, selon son emploi du temps)

Yann : Pour ma part, un bon chrétien BG donné


à suivre....

Plus la famille sera large, mieux ce sera, mais les groupes se formeront ensuite au gré des parties.

Nono

Salut,

Avec ces premières avancées, la campagne sera basée essentiellement sur les mythologies de l'Orient.

Qu'entends-t-on par Orient sous l'Antiquité ?

L'Orient, à ne pas confondre avec l'Orient du couchant (extrême Orient), va de l'Afrique proconsulaire (ancien territoire de Carthage) à la Perse. Pour la Perse, l'Egypte et même Constantinople, cela semble aller de soit. Mais je rappelle juste un point historique, si l'Afrique proconsulaire (Maghreb si on veut) est considérée comme orientale, c'est à cause de l'invasion des phéniciens qui ont apportés avec eux la culture, les moeurs, les religions... orientales. Pour conclure, l'Orient du couchant et l'Orient sont liés, en grande partie, par la route de Samarkand appelée plus communément la route de la soie.

Quelles sont les religions importantes en 325 AD ?

Dans la sphère romaine, il y a principalement les religions chrétienne, juive, mithraiste, romaine (Jupiterienne), égyptienne, arienne (venant d'Arius), Copte. Et dans la sphère persane, il y a principalement les cultes du panthéon persan (Bel, Arikel, Mardouk), babyloniens (Ishtar, Shamash, Sîn) et une grande influence des Mithraistes dans la région du croissant fertile.

La campagne en elle même ?

Voici des lettres, en grec, de PNJ importants de la campagne qui vous donnent le ton :

" Achab (prononcé "a-k-ab"),

Si j'étais un mystère, un mirage que aimeriez voir apparaître, un rêve éphèmère que vous devriez conquérir. Aurais-je le courage de vous rester étrangère ?

Je peux être l'enfer, sans rien dire et par mes sourires, je vous ferai tourner la page de votre amour perdu. Il est vrai que je suis une louve solitaire que vous devriez découvrir, mais, je vous demande de me prévenir quand votre décision sera faîte.

Pour un Crucifix qui fait sa loi, je suis de celles qui n'ont qu'un choix : franchir le mur du dernier pas. C'est contre les ambitieux que l'on gagnera notre place, contre leurs égos, je serai comment faire face en vous remettant les tablettes des antiques Ebla et Mari. Je vous laisse le bénéfice de jouer au devant de la scène pour jouer en coulisse. Je m'attacherai à votre rêve et la vie est trop sérieuse pour s'ennuyer sans résister à ses plaisirs.

Donnez moi puissance et gloire, qu'ils viennent de l'ombre ou de la lumière.

Votre Reine. "

Réponse d'Achab à cette Reine :

" Altesse,

On a le vice des vertus, ce qu'on mérite, rien de plus. Ne rajoutez pas de surplus ou de superflus, dans cette terre qui m'a fait la grâce de m'accueillir, l'important n'est qu'un détail.

Qui ne s'est jamais perdu dans les yeux de votre sire ? Ceci répondra à votre demande, et j'ai hâte de vous approcher tel le Taureau blanc devant la nymphe Europe.

Parce que l'on n'a jamais le choix de ses murs ou de sa terre, qui nous enferme à l'étroit d'une grandeur solitaire, il faut être au-dessus des communs des mortels. C'est un devoir quotidien, une pourpre qu'il faut mettre jusqu'à la fin.

Pour les gens qui ne nous aiment pas et qui nous tirent vers le bas, qui se plient pour mieux nous soumettre, ils sont là que pour graviter et pour nous détourner de ce que nous sommes. Au milieu des regards, comme autant de mirroirs qui relètent une image toute faîte, c'est avoir du pouvoir sans ne plus pouvoir, on demeure et on marche seul.

Je vous attends donc sur les terres du delta du nil,

Votre dévoué,

Achab "

Voilà, en espérant que cela attise votre curiosité,

Nono

Excusez moi par avance.

Je vois que les messages de JC, Stéphane et moi même se sont retrouvés incorporés dans un le corps d'un message de Nono (bonne chance à la lui et courage), ce qui me contrarie un peu car je voulais préciser le perso, donc :
Par touche à tout, touche à rien, comprendre : commerce du vin, des épices, du blé ... afin d'approvisionner la flotte de la famille et faire marcher le business , car oui, la famille à une flotte et un armateur, votre serviteur pour vous servir.

Question,

L'inde est situé dans l'Orient ou l'Orient du couchant ?!

La religion officielle du groupe, quelle est-elle ?! si ce n'est point trop indiscret.

sherazina Besarab a écrit:Question,

L'inde est situé dans l'Orient ou l'Orient du couchant ?!

La religion officielle du groupe, quelle est-elle ?! si ce n'est point trop indiscret.

L'Inde est au sein de l'Orient du couchant. Tout ce qui est au-delà de Samarkhand (la ville du soleil) est exotique et mystérieux.

La religion ? Il n'y a pas de religion a proprement parlé. Les Laevinii suivent plus une philosophie proche des idées d'Aristote (l'aristotélisme). Voici 3 des textes d'Aristote qui sert de fondement à votre famille :

I - Mais une vie de ce genre sera trop élevé pour la condition humaine : car ce n'est pas en tant qu'homme qu'on vivra de cette façon, mais en tant que quelque élément divin est présent en nous. Et autant cet élément est supérieure au composé humain [âme - corps], autant son activité est elle-même supérieure à celle de l'autre sorte de vertu [vertus éthiques]. Si donc l'intellect est quelque chose de divin par comparaison avec l'homme, la vie selon l'intellect est également divine comparée à la vie humaine. Il ne faut donc pas écouter ceux qui conseillent à l'homme, parce qu'il est homme, de borner sa pensée aux choses humaines, et , mortel, aux choses mortelles, mais l'homme doit, dans la nature du possible s'immortaliser, et tout faire pour vivre selon la partie la plus noble qui est en lui ; car même si cette partie est petite par sa masse, par sa puissance et sa valeur elle dépasse de beaucoup tout le reste.

II - C'est en nous abstenant des plaisirs que nous devenons tempérants, et en l'étant devenus que nous somme le plus capables de nous en abstenir; de même pour le courage: c'est en nous habituant à mépriser la peur et à résister que nous devenons courageux, et en l'étant devenus que nous serons le plus capable de résister à la peur.

III - Or celui qui se laisse corrompre par le plaisir ou la douleur a tôt fait de perdre de vue le principe, le but et la cause de tout ce qu'il doit choisir ou accomplir, car le vice est destructeur du principe.

Voili, voilou,

Nono

Proposition de règles pour la famille des Laevinii :

- Tout membre de la famille doit recevoir une éducation minimale et savoir lire et écrire.
- il est interdit de détruire un livre dont il n'existe aucune copie dans la bibliothèque de la famille
- il est interdit de céder un livre gratuitement en dehors de la famille
- tout érudit mérite respect et protection, dès lors que cette protection ne met pas la famille en danger.
- toute connaissance doit être préservée

Propositions acceptées !!! Elles seront donc vos lois familiales....

Nono

Je rajouterais aussi :

-"Tout membre de la famille doit recevoir une éducation minimale et savoir lire et écrire." : grecque et latin.
-Toute connaissance se doit d'être acquise (si elle est écrite) par la famille.
-Tout membre de la famille doit avoir un minimum de savoir juridique.

Cependant ce dernier point ainsi que celui ci : - toute connaissance doit être préservée; mettront la famille en danger, car toute connaissance n'est pas bonne à connaître et encore moins à conserver, surtout si des puissants s'y interesse...

Salut,
Désolé pour le retard de background, je m'y met incessamment sous peu, j'avais pas mal d'autres préoccupations. La semaine prochaine si tout va bien.

bonne semaine

++

Ben