"Aux barricades" : compte-rendu rapide

Cet après-midi, chez les hussards d'Isengard, l'heure était à la libération de Paris, histoire aussi de montrer les "zoulis" décors faits par l'ami Maxson (le blog de Maxson).

Nous sommes le 21 août 1944, mis en confiance par l'approche des chars américains, la résistance parisienne décrète l'insurrection générale. Aux cris de "Aux barricades !", les FFI descendent dans la rue et s'emparent des bâtiments administratifs.
Vexées, les troupes allemandes de la XIXème Armée se regroupent et font mouvement pour tenter de reprendre une Kommandantur honteusement occupée.


Tout semble paisible, vu du côté allemand. Le calme avant la tempête ?


La première compagnie allemande progresse rapidement sur le flan gauche.


Déjà, les premiers tirs défensifs brisent le bel ordonnancement teuton.


Un Somua 35, peint aux couleurs de l'occupant, s'approche de la Kommandantur pour faire intervenir sa puissance de feu.


L'Allemand a choisi de donner l'assaut pat l'itinéraire le plus direct, obligeant les FFI à se repositionner.


N'écoutant que son courage, un chef de groupe, appuyé par une mitrailleuse moyenne, sort et, profitant des couverts, réussit à neutraliser le blindé ennemi au moyen d'une charge de démolition.

A ce moment, mon appareil photo a refusé d'immortaliser la suite des évènements, à savoir, l'assaut brutal allemand qui déloge les "terroristes" de l'immeuble occupé, entraînant une victoire marginale allemande (prise de l'objectif au tour 8 ).

Une deuxième partie, jouée dans la foulée en inversant les rôles, a donné une victoire décisive allemande, aidée par un posionnement très en arrière des FFI.

Au final, les conditions de victoire semblent équilibrées mais le placement initial du FFI est primordial pour réussir à la fois à freiner l'Allemand et à tenir la Kommandantur.

A bientôt pour une nouvelle partie acharnée...

J'espère que les décors ont rendus de meilleurs services que l'appareil photo!