Quelques photos d'une partie FOW (6000 points)

Bonjour à tous,

Samedi dernier 2 compagnies allemandes ont tenté de prendre un petit village normand défendu par une coalition d'américains et d'écossais.

Tout d'abord voici la table avant le déploiement et le choix du scénario :





Les alliés défendent le village et les 2 objectifs, de puissantes batteries écossaises menacent l'ensemble de l'offensive allemande.


Les 2 capitaines allemands optent pour une stratégie de rush en regroupant l'ensemble des blindés sur le flanc est de la zone, l'objectif étant de neutraliser au plus vite la redoutable artillerie ennemie et si possible d'éviter les défenses anti chars réparties à l'ouest du village.


La percée des stuG




Suivi du redéploiement allié


A l'ouest rien de nouveau mais à l'est les anti tank alliés bloquent l'avancée des Stug


Progressivement l'artillerie écossaise et les anti chars américains viennent à bout des panzers ... seuls 3 stug pénètrent dans le village et sont "accueillis" sur un air de cornemuse :


La riposte alliée est très violente (parmi les carcasses fumantes de mes stug remarquez le tigre II dans les fumigènes)


Au tour 9 l'offensive allemande est définitivement repoussée ....


Quel plaisir de jouer sur une table fournie (le village en plâtre est réalisé à partir d'un moule en silicone, Hugo n'a pas encore commencé la peinture des murs et les toits). Un scénario difficile pour l'attaquant surtout que aucun de nous 2 ne s'attendait à ce village, connaissant un peu nos adversaires nous redoutions leurs artilleries (les priest américains) et avons tenté un rush de blindés appuyé par de l'aviation, de l'artillerie et un peu d'infanterie ... En connaissance de la table et du scénario, nous aurions alors privilégié l'infanterie pour des combats de rue et de maisons (avec un peu de gros anti-tank en cas de "churchill" en face).

JF2

Joli CR de partie. Effectivement, l'attaque d'une position défensive dans un village sans trop d'infanterie est délicate. Je pense qu'il aurait fallu jouer la mauvaise foi, en argumentant qu'un village fantome ne bloquait pas les lignes de vue et n'amenait pas de couvert.